4 jeunes d’une vingtaine d’année sont venus à l’association avec un carton.
A l’intérieur se trouvait un petit chaton d’environ 8 jours. Ils l’avaient trouvé sur le rebord d’une fenêtre d’un appartement, attendant qu’une âme charitable la prenne. Sans cette âme charitable, Mona aurait été jetée au caniveau le soir même. C’est 4 âmes qui la sauvait !
Les jeunes sont désemparés, personne ne sait et ne peut s’en occuper ! Ils recherchent une association. La notre ne prend plus de chatons car nous ne sommes que famille d’accueil et au complet de surcroît avec les chats de l’année dernière non adoptés et les stérilisations de chats de jardins en cours ! Heureusement, quelques jours auparavant une demande de chaton avait été formulée et la principale bénévole en vacances dans son travail à l’extérieur, donnait la chance à Mona d’essayer de la sauver.
Mona est très coopérative et se nourrit dès son arrivée. Elle a bientôt 1 mois et est une vraie chipie, déjà ! Nous l’avons appelée Mona car c’est le prénom de la jeune fille qui l’a récupérée. Nous n’avons pas pu obtenir ni le nom, ni l’adresse de la famille l’ayant abandonnée.
Mme C. d’Arnouville a vite réagit en voyant les chats mâles embêter les petites femelles de l’année dernière sur son parking. Elle n’a pas attendu d’avoir des portées avant d’agir ! Elle nos a contacté pour avoir une trappe pour pouvoir stériliser ces 2 mignonnes de 8 mois !
En 1 semaine, tout étit fait ! Les chattes trappées, stérilisées et identifiées. On en profite pour les vermifuger et faire un petit contrôle de santé. C’est ainsi que pour Noiraude, nous avons pu constater qu’elle avait eu diverses factures qui s’étaient consolidées suite, probablement à un accident de la route.
Après 1 semaine de convalescence, les 2 minettes ont pu regagner leur lieu de vie. Nous leur souhaitons, chance, belle et longues vie à ces 2 petites sauvageonnes !
Nous n’avons pas de photo de Noiraude pour le moment.
Voici quelque photos de minouche qui s est bien remise de sa mésaventure…même si les 1eres semaines ont été compliquées.
Elle s’est bien habituée et a pris du poids, ,devenue très câline. c est un moteur a ronrons. je commence aussi a la laisser sortir un petit peu. C est une petite minette formidable et regretre pas de l avoir prise avec moi.
Charlotte a d’abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé.
Ayant perdu le sommeil et l’appétit, elle fait l’erreur d’aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C’est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l’humeur, un autre contre l’anxiété, un autre pour le sommeil. Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent.
Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d’un chat.
Elle commence à nettoyer son appartement, une grande première depuis des mois…
Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l’étranger.
« À peine arrivé, il a sauté sur le lit et s’est mis à ronronner en bavant. C’était le début d’une nouvelle vie, avec quelqu’un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entières de vrai repos bercé par son ronronnement et le pétrissage de ses papattes… ».
À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses médicaments, elle émerge la journée, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu’à ce nouvel emploi qui signe sa guérison.
Le chat, coach mental
Le chat peut devenir notre coach mental. Il nous endurcit avec douceur…
Le chat est entré dans les foyers en tant que protecteur des greniers à grain, pour lutter contre les rongeurs, lors des débuts de la culture des céréales. C’est donc dans le Croissant fertile, puis en Egypte et dans tout le bassin méditerranéen, que le chat fut d’abord domestiqué.
Pour les navigateurs, la présence d’un chat dans leur vaisseau les protégeait contre les rats : c’était une assurance contre les épidémies. Ce rôle sanitaire a définitivement intégré les chats dans nos maisons, après les grandes épidémies de peste (années 1300).
Mais cette explication purement utilitaire n’est pas suffisante : d’une part, bien d’autres animaux (chiens ratiers, furets) peuvent chasser les rongeurs ; d’autre part, le chat est devenu l’ami de l’homme, jusqu’à l’accompagner hors problèmes domestiques.
Aujourd’hui, il n’a plus aucun rôle de gardiennage, mais il connaît un succès sans précédent : alors que le nombre de chiens diminue chaque année, le nombre de chats a augmenté de 20 % en 5 ans. Ils sont plus de 10 millions en France !
Le chat, pour remplacer le bébé ?
Selon le vétérinaire comportementaliste Joël Dehasse, le chat, même adulte, constituerait un substitut de bébé pour l’homme. Il en a le poids, les bruits, la douceur, la chaleur, le goût des caresses. Et l’homme doit lui prodiguer des soins un peu comme à un bébé.
Le chat nous apprend à communiquer
À noter que le miaulement du chat est réservé à l’homme. Les chats ne miaulent pas entre eux. Bien que son registre d’expression soit assez limité, l’homme apprend rapidement à faire la différence entre le « mmr » jovial de salut ou de remerciement, le « mraou » qui quémande une caresse ou son repas, le « mmrraouu » nettement plus insistant, ou la plainte « miieeou » plus ou moins rauque selon l’intensité de l’émotion.
Par ses mimiques du visage et ses postures, il réclame des réponses, il engage le dialogue, et il oblige déjà à comprendre le parler du chat.
Il fait intervenir ses oreilles (dressées, rabattues en arrière ou écartées), ses yeux (écartement des paupières, tension des pupilles), ses postures de jeu, de méfiance, de séduction ou d’impatience.
Il développe ainsi une communication globale avec l’homme, d’autant mieux comprise que le maître est disponible et attentif. Certains maîtres engagent ainsi une véritable discussion, en parlant à leur chat sur un rythme qui devient musical et des intonations qui vont du plus grave au plus aigu. Quand on dit : « Ouuuuh, le gentil minet, on lui a acheté une bouaaaate d’un nouveau patééééé au thon, comme il va se régaleeeeer ! »
On sait l’influence des comptines, à la fois sur le bébé qui écoute, les yeux fixés sur sa maman, en essayant de saisir un sens qui vient peu à peu, et sur sa mère, pour qui ces instants de partage musicaux apportent plaisir et sérénité.
Le chat crée un lien entre les personnes
Il n’y a pas que les personnes solitaires qui parlent à leur chat. Ces conversations sont bénéfiques pour tous ceux qui s’y adonnent. Dans une salle d’attente de vétérinaire, c’est un festival d’exclamations et de compliments échangés entre clients.
Bien entendu, le chat fait jouer. Et comme dans les jeux des enfants, c’est une manière d’apprendre à vivre avec les autres. C’est au cours de jeux avec sa mère que le chaton apprend à contrôler l’intensité de la morsure, voire à l’inhiber complètement, et à rétracter ses griffes. Sinon, gare à la réaction maternelle, qui consiste à plaquer au sol le chaton indocile et à le mordiller lentement jusqu’à ce qu’il cesse tout mouvement.
Le chat nous lèche, le chat nous caresse…
Le chat recherche en permanence le contact en douceur, avec des surfaces un peu rugueuses (tronc, moquette, bas de meubles), avec ses congénères, et bien sûr avec l’homme. Ce qui tombe bien car l’homme est lui aussi à la recherche de contacts rassérénants.
Mais dans la société humaine, les contacts physiques sont très régulés car ils ont une connotation sexuelle. Ils ne s’effectuent que selon des rituels (danse, bisou familial, accolades viriles des sportifs…) très codifiés. Seuls les enfants en bas âge et nos compagnons domestiques sont tolérés de câlins « gratuits ».
Le chat nous permet ainsi des gestes d’affection, des élans de tendresse, qui nous sont interdits par ailleurs. Les caresses du chat à l’homme se font par léchage ou par frottage de tout son corps. N’oublions pas ce pétrissage régulier, toutes griffes rentrées, généralement accompagnées d’un ronronnement en douceur…
Nuits câlines…
Le chat est quasiment le seul animal accepté dans le lit de l’homme. Parce qu’il est propre, sans odeur. Parce qu’il se laisse caresser. Parce que son pelage est chaud. Et bien sûr parce que son ronronnement nous apaise et nous endort. Le chat installé, le maître du lit n’ose plus bouger, de peur de le chasser.
Les vibrations perçues par nos récepteurs cutanés (corpuscules de Pacini) font secréter des endorphines d’action très courte (quelques minutes) mais puissantes.
Au total, un nuage de molécules calmantes, mêlé de pulsions émotives apaisées. L’écoute du ronronnement est une véritable thérapie, dont l’effet rivalise avec bien des antidépresseurs et des somnifères !
Tout s’est très bien passé, Sora est resté calme les quelques jours qui ont suivis la castration. Il va très bien depuis, aucun problème particulier. Le vétérinaire a été clair et gentil, il m’a expliqué que Sora était en léger surpoids donc je surveille son alimentation. Je vous envoie une photo, bises
Chloé
Sora est l’un des chatons trouvé dans les sacs poubelles du Stade de Sarcelles.
La petite Héra a fait ses petits dans une cave. Peureuse mais pas méchante, elle a laissé prendre ses petits pour des adoptions faites par son protecteur et elle s’est laissée approcher pour pouvoir la stériliser et la tatouer. Aujourd’hui, elle n’a plus besoin de se cacher, elle n’aura plus de bébé à mettre à l’abri des intrus des cités. Tout le monde la connait et l’apprécie, son protecteur n’est autre que le gardien. C’est une chatte libre et heureuse, à qui l’on donne amour et attentions.
Voici les nouvelles par Patrick C, son protecteur.
Bonjour, Tout d’abord, je vous souhaite a vous et toute votre équipe une bonne et heureuse année 2014. Ensuite, voici quelques nouvelles d’hera la minette noire. Je vous joint une petite vidéo sur laquelle vous pourrez voir qu’elle se porte bien. Elle fait l’ attraction du voisinage car tout les matins, elle m’attend devant ma porte et elle me suit partout. Toutefois elle reste toujours méfiante, mais j’ arrive à lui voler quelques caresses. Elle dort toujours dans son local que je lui est aménagé. Le problème pour moi, c’est de la traiter contre les puces, je ne sais pas comment faire car je ne peux pas l’attraper. Vous recevrez dans la semaine un don de ma part pour nos amis les chats. Bien cordialement,
En échange recevez les nôtres , une bonne Santé, beaucoup de bonheur et un grand courage pour continuer à vouloir sauver tous les petits Chats malheureux , autour de Groslay !!!
Félia se porte mieux, ns sommes allés aujourd’hui même chez le Véto
car elle avait un abcès à une patte arrière , il a incisé, tout va bien, elle est sous anti-bio durant une semaine . Drôle de coïncidence, avec votre message de Voeux, aujourd’hui !!!
Elle qui n’est jamais malade !!!
Soyez rassurée, nous la traitons bien et elle est tjs très jolie et gentille.
Bonne et heureuse Année 2014 encore une fois, très amicales pensées.
Petit chaton désespéré, perdu ou abandonné, miaulait désespérément en ce début de Janvier dans un jardin de Groslay.
Une âme charitable l’a mis à l’abri pour lui éviter le froid, la solitude et nous a contacté. Nous venions d’avoir un contact avec Stéphanie, une de nos famille d’accueil qui recherchait un chaton pour une tierse personne. C’est Aurélie qui a eu le privilège d’adopter la belle et gentille Iris alors agée de 4/5 mois.
Son début de vie restera un mystère mais la suite est heureuse et salutaire.