Bonjour,
Voici qqs nouvelles de Tiboo.
Elle s’est très bien adaptée.
Avec Shiva ça va de mieux en mieux, ils commencent à jouer ensemble.
Sauf que Shiva est un peu brutus ce qui effraye parfois Tiboo.
Mais elle ne se gêne pas pour lui courir après et lui donner qqs coups de pattes quand l’occasion se présente.
Elle est de plus en plus câline et ronronne comme jamais.
Elle vient se blottir toutes les nuits contre moi et réclame des caresses.
C’est vraiment un petit amour !
Drooppy a t’il trouvé une maison ?
Comment se porte Dexter ?
Je vous souhaite une bonne journée.
Edwidge
Pour info, Tiboo fait partie d’une fratrie de 4 chatons d’une maman sauvage Kapouvaye (lèvres noires), nés dans un milieu très hostile.
Un jardin intérieur d’une école maternelle. A priori, cela aurait dû être un lieu de rêve pour naître, mais il ne faut pas se fier aux apparences.
Les ados escaladent très facilement l’enceinte pour attraper les petits et écarteler les chatons et les petits de maternelles leur jettent des cailloux. Quand les chats grimpent à leur tour ce mur, c’est pour se trouver au milieu des cités où leur univers n’est pas meilleur – du moins dans ce coin là – les adultes jettent leurs chiens dessus, d’ailleurs, la soeur de Kapouvaye l’a sentie mi-juin. 2 molosses lancés sur eux à 2 heureus du matin sous les rires de leur maitres ! Transportée à la clinique de l’Isle-Adam par les pompiers, ils ont dû dès le matin mettre un terme à ses souffrances.
Puis, il y a la gardienne, ennemie jurée des animaux qui met du poison sur les pelouses et lorsque l’animal se lèche les pattes, il ingère le poison et agonise lentement avec des douleurs atroces. Et tout cela impunément.
Finger et Filoé viennent de cette école « Romain Rolland » à Sarcelles.
Eux sont restés à l’association, Kapouvaye ira à la campagne en espérant un climat social plus serein.
Pour répondre à la question d’Edwidge,
Droopy est parti 10 jours en famille d’accueil et il va être adopté par notre secrétaire qui va le renommer Milord.
Dexter, nous a fait plus de peur que de mal, il n’avait rien ! Il a réussi cependant à habiter avec nous durant son séjour, à partager notre table et notre lit. Ah le Filou ! Il a récupéré ses maitres !